Nieuwe formule Levothyrox in Frankrijk / petitie

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ineke
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Lid geworden op: 08 nov 2014, 17:53

Nieuwe formule Levothyrox in Frankrijk / petitie

Bericht door ineke »

Ook in Frankrijk zijn er duizenden klachten gemeld na formule-wijziging van de levothyroxine.

NB
Het aantal handtekeningen in het hieronder genoemde nieuwsartikel is vandaag (vrijdag) inmiddels de 174.000 gepasseerd.



1 van de nieuwsartikelen - deze in het Engels - met daaronder info van de ANSM
(L’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé)

Nieuwsartikel
Levothyrox:
The controversy over one of France's most commonly prescribed drugs explained

Auteur: Evie Burrows-Taylor

24 augustus 2017

One of the most commonly prescribed drugs in France - Levothyrox - is at the centre of a controversy as thousands of people using the treatment complain of serious side effects in the wake of a formula change.

Here's what we know.

What is Levothyrox?
It's a drug that replaces a natural hormone called thyroxine. The thyroid gland is supposed to produce this hormone on its own, but fails to do so in sufferers of thyroid disorders.

The thyroid plays an important role in growth, as well as in a person's nervous system and metabolism.

As a result, Levothyrox is a vital drug for three million patients in France, according to France's ANSM agency, which oversees the safety of medicines and health products.

Sufferers of hypothyroidism - when the gland produces too little thyroxine - can use the treatment to slow down the effects of the disorder. These effects can include memory loss, slowing down of the heart, intense fatigue, drowsiness, depressive states and weight gain.


How was the formula changed?
In March 2017, the Merck laboratory removed lactose from the treatment and replaced it with citric acid and mannitol - a type of sugar alcohol.

The new formula was expected to be more stable and easier to tolerate than the existing drug.

The ANSM said "the new formula is biologically equivalent to its predecessor" meaning the new medicine is guaranteed to be as safe and effective as its previous incarnation.


What are the patients saying?
"We are facing a major crisis," Chantal L’Hoir, founder of the French thyroid disorder association told France Info.

"I had cramps in my thighs like I've never had before, to the point where I couldn't walk," she said. "I didn't dare to drive anymore because I was dizzy.

"I was more tired than I've ever been. Since stopping the treatment, I've had a new lease of life."

Others have complained of suicidal thoughts :shock: , memory loss, hair loss and palpitations, some of whom have been on the treatment for decades without complaint until the formula change, according to Ouest France.

"We're not scientists, but I find the lack of attention it's getting from the medical world deplorable," said L'Hoir.

A petition to stop the prescription of Levothyrox has received just over 97,000 signatures, as of Thursday morning.
(nb - dit was op donderdag 24 augustus)



Is everyone on Levothyrox affected?
No. The vast majority of people using the treatment are not presenting any side effects, Le Figaro reported.

It has been reported that some patients are even feeling better since the change in formula.


Why are the side effects happening?
According to doctors, it seems unlikely that there is an intolerance to the new ingredients in the drug, particularly when they are present in many medicines and even sweets, in the case of mannitol.

But it's possible that changing the formula has changed the way the body absorbs levothyroxine, the main ingredient in the treatment.


What are the medical authorities saying?
An emergency number was set up by the ANSM on Wednesday, in a bid to respond to concerns from people using the treatment.

If you're concerned, you can call 0800 97 16 53 from Monday to Friday 9am - 7pm.


Thyroid disorders leave people more sensitive to changes and exacerbate anxiety, professor Jean-Christophe Lifante, a thyroid specialist at Lyon-Sud hospital, told Le Parisien.

"It could be having effects on certain patients, but we need to calm the controversy because the majority of them are only temporary."


Meanwhile the ANSM is enquiring into the undesirable effects, however "the first results show that there is no difference in terms of safety between the previous version of the treatment and the one now being prescribed", it said.

Bron: Local France


ANSM - wijziging formule - informatie augustus 2017
Levothyrox : changement de formule et de couleurs des boîtes et blisters
Version 2 - Mise à jour de Août 2017
http://ansm.sante.fr/content/download/1 ... t-2017.pdf


Petitie
https://www.mesopinions.com/petition/sa ... ents/31185



Nog een paar artikelen:
Professor Jean-Christophe Lifante, a thyroid specialist at Lyon-Sud hospital
Thyroïde : les malades en colère contre la nouvelle formule du Levothyrox
http://www.leparisien.fr/societe/thyroi ... 207752.php

Levothyrox : "On est face à une crise majeure", estime l'association française des malades de la thyroïde
http://www.francetvinfo.fr/sante/medica ... 38815.html


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laura
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Re: Nieuwe formule Levothyrox in Frankrijk

Bericht door laura »

hallo Ineke,

Om een beetje de kou uit de lucht te halen heb ik de titel aangepast.
Het lijkt er veel op dat vooral door slechte communicatie er paniek ontstaat.

Ik probeer het nieuws te volgen via Vivre sans Thyroide van Beate Bartes.
Ik zal vragen of zij iets voor het Schildklierforum kan schrijven.
En in Nederland is het nog niet zo ver.

https://www.facebook.com/search/top/?q= ... ro%C3%AFde
laura

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laura
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Re: Nieuwe formule Levothyrox in Frankrijk

Bericht door laura »

Lévothyrox : Questions-Réponses -- http://lacoupedhygie.fr/index.php/2017/ ... -reponses/

Pourquoi les essais de bioéquivalence sont faits uniquement sur des volontaires sains ? Comment l’Agence du Médicament Belge a communiqué sur le changement de formulation d’un médicament équivalent en 2015 ? Pourquoi en France la nouvelle formule n’a pas été testée sur des personnes prenant le médicament contrairement à la Belgique ? Le mannitol est-il moins cher que le lactose ? Le lactose est il déconseillé par les autorités européennes du médicament ? Pouvait-on ajouter les explications directement dans la notice ou sur la boite ? Et quid d’un document d’information remis directement aux patients par les professionnels de santé ?

Cette série de questions m’a été posée par @MissLondres, @BBartes, Lynessagesse, et l’ensemble des membres actifs et e-Patients de chez @forumthyroide. Leur but ? Répondre aux interrogations des personnes concernées. Je leur ai proposé d’apporter mes connaissances sur le sujet et de les aider à répondre à toutes ces questions.

Le mannitol est-il moins cher que le lactose ?
Cette question sous-entend : Est-ce que le laboratoire Merck a fait cette modification pour gagner plus d’argent sur le Lévothyrox ? Déjà, il faut rappeler que le changement de formulation a été fait à la demande de l’Agence du Médicament. Initialement, il n’y a aucune volonté de Merck d’économiser sur la production des comprimés.

Néanmoins, la question reste en suspens. Alors quel est le moins cher ? Et bien c’est le lactose. Cet article scientifique rappelle pourquoi le mannitol devient de plus en plus populaire au sein de l’industrie pharmaceutique. Et la raison n’est pas son coût mais sa capacité à produire des comprimés plus stables. Il est assez logique que Merck se soit tourné vers cet ingrédient pour répondre à la demande de l’Agence. C’est aussi ce composé qui est utilisé par Biogaran qui produit une version générique du Lévothyrox.
Et pour information, le lactose monohydraté coûte 2 226 dollars par tonne tandis que le Mannitol coûte 3 710 dollars par tonne. Je rappelle que nous parlons de comprimés pesant quelques dizaines voire centaines de milligrammes. Pour obtenir le prix au milligramme du mannitol ou du lactose, il vous suffit de diviser le prix à la tonne par 1 milliard. Soit 0,000002227 dollar par milligramme pour le lactose. Vous comprendrez donc que le coût des excipients comme le lactose monohydraté ou le mannitol sont négligeables dans la production d’un comprimé. Et qu’avancer cet argument pour expliquer pourquoi Merck aurait changé sa formule n’est pas crédible.
Comme je le rappelle assez souvent sur mon blog, le plus cher dans un médicament n’est pas le comprimé. C’est la notice !
Enfin, il ne faut pas oublier que Merck a également ajouté de l’acide citrique anhydre. Soit un coût supplémentaire. Lui aussi négligeable quand on ramène cette dépense au coût par comprimé.

Le lactose est-il déconseillé par les autorités européennes du médicament?
Non. Les médicaments contenant du lactose sont déconseillés uniquement chez les patients présentant une intolérance au galactose, un déficit en lactase de Lapp ou un syndrome de malabsorption du glucose ou du galactose. Il s’agit de maladies héréditaires rares. On parle d’intolérance au lactose.C’est pourquoi il est classé sur la liste des excipients à effets notoires. Mais exceptés pour ces rares patients, le lactose ne pose aucun problème. Il est également présent largement dans notre alimentation.

Pourquoi l’acide citrique est-il utilisé comme excipient?
L’acide citrique est utilisé comme conservateur pour limiter la dégradation de la lévothyroxine au cours du temps. Autrefois, on l’utilisait pour conserver la viande. C’est un ingrédient présent naturellement dans le corps (sous forme de citrate) et dans les agrumes (orange, citron…).

Quels médicaments usuels contiennent du mannitol ET de l’acide citrique?
Ils sont très nombreux. Citrate de Bétaïne, Fervex, Veinamitol, Aspro 500 Vitamine C, HumexLib état grippal, la liste est longue comme le bras. Ces 2 excipients n’ont rien de particulier. Et la réunion des 2 est assez classique dans une formulation de médicament. Le Lévothyrox nouvelle formule n’a rien de particulier sur ce point.

Qu’est-ce que les essais de bioéquivalence et pourquoi sont-ils faits uniquement sur des volontaires sains?

Un médicament est composé d’une substance active et d’autres ingrédients appelés excipients. La substance active est responsable de l’effet du médicament. Les excipients permettent d’obtenir une forme, un goût ou une meilleure absorption de la substance active. On dit souvent que les excipients sont des véhicules pour la substance active. Un médicament peut exister sous plusieurs formes : comprimés, gélules, solution buvable, solution injectable dans le sang, etc…

Un médicament peut également changer de formule au cours du temps. Comme pour le Lévothyrox.

Pour s’assurer que la nouvelle forme ou la nouvelle formule est équivalente à l’ancienne, le laboratoire n’aura pas besoin de refaire l’intégralité des essais cliniques.
En effet, on connaît le bénéfice et l’efficacité de la substance active de ce médicament une fois présente dans le corps. Elle a été étudiée lors de plusieurs essais cliniques. Le médicament a ensuite été évalué par l’Agence du Médicament pour obtenir une autorisation de mise sur le marché (AMM). Il ne serait pas éthique ni scientifiquement utile de refaire des essais dont on connaît déjà le résultat.

Le laboratoire doit donc vérifier que la dose de substance active circulant dans le corps avec la nouvelle forme ou la nouvelle formulation est la même que la dose fournie par l’ancienne. On appelle cela des essais de bioéquivalence.

Pour le nouveau Lévothyrox, Merck a donc procédé à cet essai. Le laboratoire a testé le médicament de référence et la version similaire sur quelques dizaines de personnes n‘ayant pas de problèmes de santé. Il a administré successivement à ces personnes le médicament de référence (l’ancienne formule du Lévothyrox) puis le médicament similaire (la nouvelle formule du Lévothyrox). Merck a fait une série de mesure pour vérifier la dose dans l’organisme et son élimination au cours du temps puis a comparé les résultats entre le médicament de référence et le médicament similaire.

Cet essai de bioéquivalence doit permettre de confirmer à l’Agence du médicament que les 2 formes sont similaires. On utilise également ce type d’essai pour comparer les génériques au médicament de marque et s’assurer que l’effet est identique.

Pourquoi choisit-on des personnes sans problème de santé dans les essais de bioéquivalence?
Pour avoir la population la plus homogène possible et ne pas avoir de cas particulier provoqué par une maladie particulière. On veut connaître le comportement moyen du médicament dans l’organisme. Utiliser des personnes malades introduirait des biais du fait de leur problèmes de santé et cela ne permettrait pas de conclure à la bioéquivalence dans ces conditions.

Comment évalue-t-on la bioéquivalence?
C’est un cauchemar pour expliquer la bioéquivalence en termes simples. Il me faudrait un billet tout entier. Et encore, je ne suis pas sûr d’être capable de vulgariser ce concept. A chaque fois qu’on me demande de l’expliquer, je suis bien embêté tellement le principe est complexe. D’ailleurs, je me demande parfois si les biostatisticiens ne sont pas des extraterrestres venus de la galaxie Pégase pour avoir été capable d’inventer ce type de test.
La règle statistique est si complexe qu’elle est une source fréquente de confusion même chez les professionnels de santé. L’Agence du Médicament en donne une explication ici.

Alors faisons simple. Les statisticiens ont fixé un intervalle qui nous permet de nous assurer que la bioéquivalence est démontrée. Durant l’essai, on mesure la dose reçue par le corps au cours du temps avec le traitement de référence et avec le traitement similaire. La mesure de la dose reçue par le corps avec le traitement similaire doit se trouver dans l’intervalle défini par les statisticiens. Ce calcul nous donne la garantie que la variation en substance active entre les 2 versions ne peut pas dépasser ± 5%. Ca peut vous sembler beaucoup. Mais il faut savoir que cette variation est acceptée au sein d’un lot de production du médicament de référence. Les techniques de dosage ne sont pas assez précises pour faire mieux. Donc on accepte la même variation pour la version similaire.

L’Agence américaine du médicament a ainsi évalué 2070 études de bioéquivalence et a conclu que la différence moyenne entre médicaments de référence et médicaments similaires était de 3,6%.

Néanmoins, certains médicaments ont un profil particulier. C’est le cas du Lévothyrox. Les patients sont sensibles à de faibles changements de doses. On parle alors de médicaments à marge thérapeutique étroite. Pour ces médicaments, on a rétréci l’intervalle qui nous permet de conclure à la bioéquivalence. On est beaucoup plus strict pour s’assurer d’être aussi proche que possible du médicament de référence. D’après l’Agence française du médicament, le nouveau Lévothyrox a réussi le test de bioéquivalence.

Pourquoi en France la nouvelle formule n’a pas été testée sur des patients contrairement à la Belgique?
Le 1er janvier 2015, l’Agence belge du médicament a accepté une nouvelle formulation d’un équivalent belge du Lévothyrox, le L-Thyroxine Christiaens, commercialisée par le laboratoire Takeda. Cette nouvelle formule a été réalisée pour simplifier la production et pour améliorer les problèmes de stabilité du médicament. La modification a consisté à remplacer l’hydrogénophosphate de calcium dihydrate par de la gélatine et du talc.

Par ailleurs la nouvelle formulation du L-Thyroxine Christiaens contient du lactose comme pour l’ancienne formulation. Pour valider ce changement, un essai de bioéquivalence a été réalisé par Takeda. Cet essai est très classique. 24 volontaires sans problème médical ont été recrutés. Mais les doses reçues par le corps au cours du temps étaient en dehors de l’intervalle permettant de démontrer la bioéquivalence. Avec la nouvelle formulation, qui contient du lactose je le rappelle, la dose d’hormones thyroïdiennes reçue par le corps était supérieure en moyenne de 31%. Je suppose que ce résultat a motivé le laboratoire pour entreprendre un essai dit de switch plutôt que de revoir la formulation et d’entreprendre à nouveau un essai de bioéquivalence.

Un essai de switch consiste à prendre des patients sous traitement. On leur fait arrêter leur traitement et on leur donne un nouveau traitement pour remplacer l’ancien. Habituellement, les essais de switch sont entrepris pour aider les médecins et les patients à passer d’un médicament à un autre. Il est assez rare de voir des essais de switch pour un changement de formulation d’un médicament.

L’essai de switch sur le L-Thyroxine Christiaens a été réalisé sur 84 patients prenant l’ancienne formulation. L’essai a montré un résultat équivalent à celui de l’essai de bioéquivalence. 8 semaines après le passage à la nouvelle formulation, les dosages en hormones thyroïdiennes des patients ont imposé une adaptation de la dose du médicament à la baisse pour 2 patients sur 3.

67 % des patients avaient un dosage trop fort avec la nouvelle formule et a nécessité un changement de dosage de L-Thyroxine Christiaens. Aucun des patients n’a nécessité d’hospitalisation. 1 seul s’est rendu aux urgences et en est reparti avec une adaptation de la dose de son médicament. Mais la majorité des patients a pu ressentir des effets indésirables d’une hyperthyroïdie. Et quelques patients ont pu ressentir les effets indésirables d’une hypothyroïdie.

L’Agence Française du Médicament pouvait-elle demander des essais de switch ?
Oui. Cela fait partie de ses prérogatives. Compte tenu du nombre important de patients prenant ce médicament (plus de 3 millions), l’Agence aurait pu considérer que cette situation exceptionnelle nécessitait un essai de switch pour plus de précaution. Mais si les essais de bioéquivalence ont démontré l’équivalence entre les formules, l’Agence a pu considérer que c’était un excès de précaution et que l’essai de switch n’était pas nécessaire.

Aurait-elle dû demander cette étude ? Aujourd’hui, on peut le penser et lui en faire le reproche. Mais de mon point de vue, il est facile de donner le score du match à la fin de la partie.
Ces décisions sont toujours difficiles à prendre. C’est pourquoi la transparence est importante pour montrer ce qui a été fait.

L’Agence belge a communiqué sur les résultats des essais de bioéquivalence et de switch. Les patients et les professionnels de santé ont eu ces informations.
Du côté de l’Agence française, la communication semble hasardeuse. Certes l’Agence a fait l’effort de produire sur son site internet une Foire aux Questions. C’est une bonne initiative. Mais il n’y a aucune information sur les résultats des essais de bioéquivalence. Et en l’absence d’information, on laisse libre cours aux théories du complot. Et même quand la polémique a pris de l’ampleur, l’Agence n’a pas jugé pertinent de publier ces résultats.
La communication de l’Agence sur les études pourrait être résumé par : “circulez, il n’y a rien à voir”. Et cette communication est impossible au 21e siècle. Elle date du siècle dernier.

Le silence de Merck sur le sujet, surtout sur les réseaux sociaux, pose aussi question.
laura

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laura
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Lid geworden op: 11 sep 2013, 22:42
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Diashow over Levothyrox

Bericht door laura »

Met een korte en duidelijke diashow op twitter: https://storify.com/public/templates/ca ... nsequences
laura

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Gast1

Re: Nieuwe formule Levothyrox in Frankrijk / petitie

Bericht door Gast1 »

BB1100XX schreef: 06 sep 2017, 16:43
Zijn er ook al Nederlandse berichten over euthyrox en haar nieuwe recept ??
Merck heeft een aanvraag voor goedkeuring/toelating ingediend. Meer is er niet bekend.

Er is in Nederland dus geen nieuwe formule Levothyrox op de markt.
Merck Frankrijk heeft mij persoonlijk verzekerd dat Levothyrox in Frankrijk wordt uitgeleverd en dat het niet voor export doeleinden is. Daar is ook geen logische reden voor, er is in NEderland - nu Thryax ook weer leverbaar is - geen sprake van tekorten.
Gast1

Re: Nieuwe formule Levothyrox in Frankrijk / petitie

Bericht door Gast1 »

Ander nieuws:

Dit bericht is afkomstig van de Franse vereniging VivreSansThyroide (https://www.facebook.com/VivreSansThyroide/)

https://www.forum-thyroide.net/pdf/VST_ ... nistre.pdf
Gast1

Re: Nieuwe formule Levothyrox in Frankrijk / petitie

Bericht door Gast1 »

BB1100XX schreef: 08 sep 2017, 21:38 Ik slik de roemeense euthyrox.
de apotheek krijgt de 50 mcg steeds niet binnen.
vandaar mijn vraag.
De Roemeense is exact gelijk aan de Nederlandse: zelfde fabriek, zelfde samenstelling.
Gast1

Re: Nieuwe formule Levothyrox in Frankrijk / petitie

Bericht door Gast1 »

BB1100XX schreef: 08 sep 2017, 22:29 dat weet ik.
maar ik word ziek van de nederlandse en de roemeense niet.

het enige verschil is dat de roemeense tabletten uit de fabriek in darmstad, duitsland komen en de nederlandse uit schiphol-rijk in nederland.

Samenstelling zou exact hetzelfde moeten zijn.
Ze komen allebei uit diezelfde fabriek. Dat staat bij "Fabrikant" op de Nederlandse bijsluiter. Merck heeft maar één productie-faciliteit in Europa.
Ik heb de Nederlandse en de Roemeense bijsluiter naast elkaar gelegd en die zijn ook precies hetzelfde (behalve de taal).
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